Tout sauf funeste, la musique de Johnny est mort célèbre avec liesse et entrain le flirt amoureux, les rêveries pastel et les parfums éthérés d’une jeunesse affamée d’aujourd’hui, d’hier ou de demain.
Ivres et décomplexées, les mélodies de ces trois garçons cultivent la simplicité et l’efficience, avec pour seul objectif celui de vous faire taper du pied et de vous entraîner, toujours un peu plus, dans le tourbillon coloré de leurs extravagances voraces et pleines de légèreté.
Une plume naïve au service d’une poésie rock’n’roll, des guitares pour porter quelques petites comptines yéyé ou encore la vivacité tenace d’une caisse claire contre le spleen du temps qui passe : voici l’adorable recette de ces dignes héritiers d’une époque révolue, pourtant ici merveilleusement réveillée et restaurée.
Des Chaussettes Noires à Didier Wampas, en passant par Françoise Hardy ou le King himself, le trio multiplie ses influences sans jamais s’éparpiller et frappe sans équivoque, directement en plein coeur !
Vous ne résisterez pas bien longtemps
-Xavier Lelievre